septembre 15

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Les 10 commandements du rééquilibrage alimentaire

J’ai voulu faire comme Moïse. Vous apporter les 10 commandements. Mais version rééquilibrage alimentaire.

Alors j’ai trouvé une montagne. Je l’ai gravie, puis je me suis assis.

Tout en méditant, je contemplais les plaines. Loin de la civilisation. Loin du fourmillement de la ville.

Pendant 40 jours et 40 nuits, j’ai attendu. Attendu qu’elles viennent à moi.

Et puis, un jour, pile pendant ma sieste… Il s’est présenté. Impossible de discerner Sa silhouette : j’avais le soleil dans les yeux.

Ébloui, à moitié dans le coaltar, j’ai su. L’heure était venue. Dans un geste lent mais déterminé, j’ai tendu les bras,prêt à recevoir les lois sacrées.

Après de longues secondes et un silence à faire rougir un moine, je les ai enfin distinguées. Elles étaient là, juste devant mes yeux ébahis.

Les précieuses tablettes.

Celles qui allaient transformer la vie de millions d’hommes et de femmes.

Mon excitation a grimpé d’un cran.

Une fois entre mes mains, une lumière éclatante a jailli des pierres. Des inscriptions sont apparues. Des mots. Puis des phrases.

J’ai relevé la tête. La Source s’était volatilisée.

Mais moi, j’étais là. En présence des 10 commandements du rééquilibrage alimentaire.

Et je m’apprête à vous les partager.

 

I : Plus l’aliment est transformé, moins tu en mangeras

Et la première inscription apparut. Gravée profondément dans la pierre.

Elle semblait sévère. Presque dure.

Mais au fond, elle n’était là que pour protéger.

« Plus l’aliment est transformé, moins tu en mangeras. »

Car l’Homme moderne a pris la nature… Et il l’a décomposée, modifiée, recomposée. Jusqu’à fabriquer des aliments qui n’en sont plus vraiment.

Des produits créés en laboratoire, que vous ne trouverez jamais en forêt, ni dans les champs, ni dans les lacs.

Or, ce que le corps ne reconnaît pas, il le subit.

Depuis toujours, la vie s’est nourrie de ce que la nature offrait : des plantes, des fruits, des racines, des bêtes.

Aujourd’hui, cela semble encore vrai… Mais les apparences sont trompeuses.

Car derrière chaque barre chocolatée, chaque yaourt allégé, chaque sauce toute prête, il y a des formulations, des additifs, des procédés.

Pourquoi ?

Pour que ce soit plus rentable, plus transportable, plus durable. Mais pas forcément plus digeste. Ni plus sain.

Alors le commandement fut clair :

Éloignez-vous de ce qui est trop transformé.

Et si jamais vous doutez, prenez l’aliment dans vos mains, fermez les yeux, et posez-vous la seule vraie question :

« Est-ce que mes ancêtres auraient pu manger ça ? »

 

II : La globalité de ton alimentation, tu regarderas

Et le second commandement est plus doux, plus réconfortant.

Il ne parlait pas d’interdiction, mais de sagesse.

Car ce n’est pas un cookie, ni même une raclette, qui ruinera votre silhouette.

Ce qui compte, c’est la direction générale que vous donnez à votre assiette. Ce n’est pas ce que vous mangez un jour, mais ce que vous mangez chaque semaine.

Alors, prenez un peu de recul. Observez votre alimentation dans son ensemble. Non pas avec la loupe du perfectionniste, mais avec les yeux du bon sens.

Tenez un journal alimentaire si cela vous aide. Sinon, faites simplement un retour sur les derniers jours. Et demandez-vous :

« Est-ce que je nourris mon corps avec constance… ou par à-coups ? »

Car bien manger uniquement le week-end, ou au contraire relâcher tous vos efforts dès qu’il arrive… ne vous mènera pas très loin.

Évitez les extrêmes.

Non, un cookie ne nuira pas à votre silhouette. Mais oui, en manger un à chaque repas, peut finir par la modifier.

 

III : Plus de légumes, tu mangeras

Le troisième commandement apparut avec évidence.

Presque trop simple pour être pris au sérieux. Et pourtant…

« Plus de légumes, tu mangeras. »

Un principe d’une sagesse ancienne, oublié dans les rayons trop brillants des supermarchés.

Les légumes verts ne sont pas là pour décorer l’assiette. Ni pour donner bonne conscience. Ils sont là pour nourrir. Vraiment.

Riches en vitamines, en minéraux, en fibres… ils calment la faim, soutiennent la digestion, et offrent à votre corps des nutriments qu’aucun plat préparé ne pourra égaler.

Et, cerise sur le gâteau à la courgette, leurs fibres ralentissent l’élévation de la glycémie. Ce qui vous permet de savourer, sans culpabilité,
des aliments “moins parfaits”… mais bons pour le moral.

Alors, ce commandement est clair : augmentez votre consommation de légumes.

Crus, cuits, vapeur ou rôtis : toutes les formes sont les bienvenues.

Et ne craignez ni la surcharge, ni l’overdose.

La nature a prévu pour vous un véritable jardin d’abondance, où les associations d’herbes, d’épices et de légumes sont presque aussi nombreuses que les étoiles dans le ciel. (Presque.)

➡️ [Voir : comment utiliser les herbes et épices en cuisine]

Et un dernier conseil, soufflé en marge des tablettes : pour bénéficier pleinement des fibres, évitez de les transformer en soupe. Car les super-pouvoirs des légumes… sont parfois sensibles au mixeur.

 

IV : Ton ratio oméga-3 et 6, tu surveilleras

Et le quatrième commandement apparut… comme une alerte discrète.

Une vérité invisible à l’œil nu, mais bien réelle dans le corps.

« Ton ratio oméga-3 et oméga-6, tu surveilleras. »

Pas simple, en effet.

On ne le voit pas.

On ne le sent pas.

Et pourtant, ce déséquilibre silencieux peut désorganiser peu à peu l’ensemble du système. Car lorsque l’ordre est rompu, le chaos peut s’installer :

  • Obésité ;
  • Cancers ;
  • Alzheimer ;
  • Diabète de type II ;
  • Maladies cardiovasculaires.

Ce ne sont pas des fatalités. Mais bien souvent, les conséquences d’un terrain inflammatoire chronique… nourri par trop d’oméga-6
et pas assez d’oméga-3.

Alors le remède est simple : rééquilibrer l’assiette.

Augmentez votre consommation d’aliments riches en oméga-3. Réduisez ceux saturés d’oméga-6.

À favoriser (oméga-3) :

  • Huile de lin ;
  • Graines de chia ;
  • Noix de Grenoble ;
  • Huile de colza vierge ;
  • Viandes issues d’élevage en plein air ;
  • Œufs plein air, bio ou Bleu-Blanc-Cœur (code 1 ou 0) ;
  • Poissons gras (sardine, maquereau, saumon sauvage…).

À limiter (oméga-6) :

  • Chips ;
  • Cacahuètes ;
  • Plats préparés ;
  • Biscuits, gâteaux industriels ;
  • Viandes grasses issues d’élevages intensifs ;
  • Huiles de tournesol, sésame, pépins de raisin ;
  • Œufs de poules élevées en cage ou au sol (code 3 ou 2).

Ce commandement n’est pas là pour vous compliquer la vie. Il est là pour la prolonger. Et pour la rendre plus paisible, plus stable, dans votre corps comme dans votre esprit.

 

V : Des féculents à chaque repas, tu éviteras

Et le cinquième commandement ne parla pas d’interdiction… Mais de désenvoûtement.

Car derrière le pain, les céréales, les pâtes du quotidien… se cache une histoire bien plus sombre qu’il n’y paraît.

Nous vivons dans un monde brutal. Un monde où l’aliment n’est pas toujours au service de la vie, mais souvent au service du profit.

Et si vous avez de l’argent… vous pouvez imposer vos vérités.

C’est ce qui s’est passé avec les féculents.

Mais aussi avec le sucre.

Et même avec certains produits laitiers.

Si je vous demandais quels aliments causent des maladies cardiovasculaires, vous penseriez peut-être : le beurre, la charcuterie, les graisses saturées.

Et pourtant… le sucre fait bien plus de ravages.

Pourquoi ne pense-t-on pas à lui en premier ? Parce que dans les années 60, le lobbying du sucre a dépensé des fortunes pour détourner l’attention. Ils ont pointé du doigt les graisses, pour mieux cacher les effets du sucre.

Leur stratégie a fonctionné.

Les États-Unis, puis le reste du monde, ont adapté leurs recommandations alimentaires… sur des bases fausses.

Le résultat ?

  • Une génération traumatisée par le gras.
  • Et des assiettes remplies de céréales… au détriment des bons oméga-3.

Même les dessins animés de l’époque ont participé à la manœuvre : un petit garçon chantait les louanges des corn-flakes, promettant une force surhumaine.

Comment résister à ça ?

Mais derrière l’innocence du bol de céréales, se profilait déjà une épidémie : obésité, diabète de type II, fatigue chronique.

Alors, le commandement est simple : ne reproduisez pas l’assiette parfaite vendue à la télévision.

Misez sur des protéines maigres, du bon gras, et une montagne de légumes.

Et si vous aimez les pâtes, le pain, ou les céréales ?

Vous pouvez en manger. Mais pas à chaque repas.

Et surtout, n’ayez crainte : vous ne manquerez pas d’énergie.

Au contraire. Votre énergie sera plus stable, plus durable, plus vraie.

 

VI : Des protéines à chaque repas, tu ajouteras

Et le sixième commandement surgit comme une fondation. Car sans lui, tout l’édifice s’effondre.

« Des protéines à chaque repas, tu ajouteras. »

Non, ce n’est pas un conseil réservé aux culturistes. Ni aux fans de shaker à la vanille.

C’est un besoin fondamental.

Car les protéines sont les briques de votre maison. Sans briques… pas de mur. Et sans mur, le toit ne tient pas.

Les protéines permettent de :

  1. Manger à votre faim ;
  2. Rester rassasié plus longtemps ;
  3. Protéger votre masse musculaire.

Et votre masse musculaire n’est pas juste esthétique.

C’est elle qui brûle de l’énergie, qui stabilise votre glycémie, et qui vous maintient fort, mobile, vivant.

Alors, à chaque repas, glissez une bonne source de protéines.

Par exemple :

  • Du poisson gras, riche en oméga-3 ;
  • Des œufs labellisés Bleu-Blanc-Cœur ;
  • De la volaille ou de la viande maigre, pauvres en oméga-6 ;
  • Et, dans une moindre mesure, des légumineuses : lentilles, pois chiches, haricots, tofu…

Peu importe la source, du moment qu’elle est présente.

Chaque repas devient alors un socle solide. Et votre corps, une maison bien bâtie, prête à traverser le temps.

 

VII : Ton équilibre acide-base, tu surveilleras

Et le septième commandement surgit comme un murmure discret.

Un rappel de l’invisible. Un appel à la nuance.

« Ton équilibre acide-base, tu surveilleras. »

Encore un truc abstrait, direz-vous. Un de ces concepts qu’on ne voit pas, qu’on ne sent pas… Mais qui fait toute la différence.

Heureusement, les tablettes sont livrées avec leur notice !

Veiller à cet équilibre, c’est protéger votre corps de nombreux maux :

  • L’accumulation de graisse ;
  • Les troubles rénaux ;
  • La fonte musculaire ;
  • L’hypertension ;
  • L’ostéoporose ;

Rien de très joyeux, en somme. Mais tout à fait évitable.

Nos ancêtres consommaient une alimentation riche en végétaux. Or, les végétaux sont alcalinisants : ils contribuent à réduire l’acidité du corps, et donc à préserver vos os, vos reins, vos muscles.

À l’inverse, les produits animaux et céréaliers sont acidifiants.

Et si l’acidité s’installe sans contrepoids… votre organisme va puiser dans vos réserves :

  • Dans vos muscles ;
  • Dans vos os.

Vous en conviendrez : c’est… moyen.

Pour rétablir l’équilibre :

  • Limitez le sel ;
  • Mangez plus de légumes frais ;
  • Réduisez les féculents raffinés ;
  • Accompagnez toujours votre viande de légumes ;
  • Et freinez un peu sur les fromages à pâte dure… Oui, je sais… triste nouvelle.

Mais rien ne vous empêche de vous régaler autrement.

  1. Choisissez des fromages à pâte molle ;
  2. Associez-les à des fruits secs (comme les figues, les abricots, les raisins…).

Ces derniers sont riches en composés alcalinisants.

Et ils forment ensemble une alliance savoureuse.

  1. Vous prenez soin de votre corps ;
  2. Vous vous faites plaisir ;
  3. Et c’est bon tout court.

 

VIII : Des aliments à densité nutritionnelle élevée, tu achèteras

Et le huitième commandement porta un nom un peu barbare.

Un mot long, compliqué, presque intimidant.

« Densité nutritionnelle élevée. »

Mais derrière cette appellation étrange… se cache une sagesse toute simple :

Choisissez des aliments riches en nutriments.

Des aliments qui nourrissent vraiment. Pas seulement l’estomac, mais les cellules, les tissus, l’énergie, la vie.

Autrement dit :

  • Plus de légumes entiers ;
  • Plus de fruits non transformés ;
  • Plus de vraies parties d’animaux (viande, abats, œufs, poissons, fruits de mer).

Et en contrepartie :

Moins de produits industriels ;

Moins de transformations inutiles ;

Moins d’astuces marketing déguisées en aliments.

Quelques exemples très concrets :

  1. Préférez des noix nature plutôt que grillées et salées.
  2. Au lieu d’une soupe industrielle, cuisinez de vrais légumes.
  3. Remplacez la viande panée par un morceau simple, brut, cuisiné avec amour.

Mais ce n’est pas tout.

Les aliments complets sont souvent plus denses en nutriments que leur version raffinée. Prenons le cas du riz :

Riz blanc vs riz complet :

  • 2,8× plus de fibres
  • 5,5× plus de magnésium
  • 3× plus de potassium
  • 10× plus de calcium
Différence entre riz blanc et riz complet
Source : http://lameilleurefacondemanger.fr/2015/05/01/riz-blanc-ou-riz-complet/

Voilà un bon exemple d’un aliment à densité nutritionnelle élevée.

Mais… rien n’est parfait.

Les céréales complètes ont aussi leurs zones d’ombre :

  • Elles contiennent parfois des pesticides ;
  • Des anti-nutriments ;
  • Et demandent une cuisson plus longue.

Comme souvent : la perfection n’existe pas. Mais le discernement, si. Ainsi, si les céréales complètes ne vous conviennent pas, n’en mangez pas.

Et méfiez-vous seulement des aliments pauvres en nutriments :

  • Chips ;
  • Glaces ;
  • Burgers ;
  • Biscuits industriels ;
  • Pâtes à tartiner sucrées…

Ils sont souvent riches en calories, mais pauvres en nutriments. Riches en promesses, mais pauvres en vrais bienfaits.

Faites le choix du vivant. Le choix du vrai. Le choix qui nourrit, pas juste qui remplit.

IX : Des aliments à CG bas, tu privilégieras

Et le neuvième commandement vint avec une précision presque scientifique.

« Des aliments à charge glycémique basse, tu privilégieras. »

La charge glycémique… Un nom un peu technique, mais une réalité très concrète.

Elle mesure l’impact d’un aliment sur votre glycémie, c’est-à-dire sur votre taux de sucre dans le sang.

Et les pics de glycémie sont à éviter. Pour trois raisons essentielles :

Trois effets des pics de glycémie :

  1. D’abord, l’excès de sucre dans le sang est stocké.
    D’abord dans vos réserves…
    Puis, quand elles sont pleines, sous forme de graisses corporelles.
    Et vous voilà avec une jolie petite bouée abdominale.

  2. Ensuite, votre pancréas s’épuise à produire de l’insuline.
    S’il travaille trop souvent comme un forcené… il finit par déclarer forfait.
    Résultat : diabète de type II.

  3. Enfin, 2 à 4 heures après un pic, c’est la chute.
    Vous entrez en hypoglycémie.
    Et là : fringale, fatigue, tremblements, et envie pressante de sucre.
    Ce qui relance la boucle.

Alors que faire ?

Évitez les aliments qui provoquent ces pics. C’est-à-dire :

  • Les grignotages de pain hors des repas ;
  • Les assiettes débordantes de pâtes blanches ;
  • Mais aussi les desserts trop sucrés en fin de repas.

Car oui, ce sont surtout les céréales raffinées et les sucres qui font grimper la glycémie.

À augmenter dans l’assiette :

  • Les œufs ;
  • Les viandes ;
  • Les poissons ;
  • Les oléagineux ;
  • Les fruits entiers ;
  • Et, surtout… les légumes.

Oui, encore eux. Mais il faut dire que leurs fibres sont de véritables gardiennes de votre glycémie. Elles ralentissent l’absorption des sucres. Elles apaisent les pics. Elles sécurisent votre énergie.

Et puisqu’on parle de bonne nouvelle… terminons sur une promesse pleine d’espoir : manger mieux, ce n’est pas manger moins. C’est manger plus intelligemment. Regardez :

 

X : Le plaisir, tu n’oublieras pas

Et le dixième commandement tomba du ciel comme un soupir de soulagement.

« Le plaisir, tu n’oublieras pas. »

Car oui, il doit faire partie de votre alimentation.  Ce n’est pas une option. C’est un besoin fondamental.

Ce commandement vous libère d’un fardeau : vous n’avez pas besoin d’être parfait.

Et surtout… vous n’avez pas à vous priver de tout ce qui vous fait du bien.

Un aliment ne suit pas les commandements du rééquilibrage alimentaire ? Cela ne signifie pas qu’il est interdit.

Tout est une question d’équilibre, de conscience, de paix intérieure.

Se priver n’apporte aucun bénéfice. Mais elle offre de nombreux inconvénients :

  • Elle nourrit la culpabilité ;
  • Elle crée des tensions sociales ;
  • Elle fragilise la relation à la nourriture ;
  • Et elle entame peu à peu la confiance en soi.

Alors oui, autorisez-vous des plaisirs.

Et si possible, faites-les vous-même. Avec des ingrédients simples, bruts, vrais. En respectant l’esprit des commandements.

Parce que le plaisir… lui aussi peut être sain.

 

Le 11e commandement

Voilà. Les dix commandements vous ont été transmis. Et moi, humble messager du rééquilibrage, je suis honoré d’avoir pu vous les remettre.

Mais… il me reste une dernière chose à vous dire.

Car sur les tablettes, tout en bas, dans un coin, il y avait un post-scriptum.

Écrit si petit que j’ai failli ne pas le voir.

Et c’est bien là le symbole : un petit geste que l’on néglige… mais qui peut changer beaucoup de choses.

Ce geste ?

  1. Purifie le corps ;
  2. Améliore le transit ;
  3. Limite les fringales ;
  4. Favorise la perte de poids ;
  5. Et vous reconnecte à vos sensations.

Alors voici, en bonus sacré, le 11e commandement :

PS : Boire plus d’eau, tu n’oublieras pas.

Et maintenant, si ces tablettes ont trouvé écho en vous, transmettez-les. Faites-les voyager. Offrez-les à d’autres.

Devenez les missionnaires du bon sens alimentaire. Pas pour convertir. Mais pour réveiller.

Car un monde mieux nourri, est un monde plus apaisé.

Qui suis-je ?

Je m'appelle Jonathan, et j’ai vécu une perte de poids brutale : de 90 kg à 55 kg… sans le vouloir.


Ce que beaucoup trouvaient “impressionnant” était, pour moi, tout sauf un succès : fatigue extrême, fonte musculaire, perte d’énergie.


C’est là que j’ai compris que le vrai sujet, ce n’est pas le poids. Mais la façon dont on habite son corps, dont on le nourrit… et dont on s’y sent.


Aujourd’hui diplômé en nutrition, j’aide les femmes à maigrir durablement sans souffrir, grâce au rééquilibrage alimentaire. Sans régime. Sans privation. Sans obsession.


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  • Très bien expliqué
    Merci
    J’ai partagé ça avec mon fils 14ans pour son futur enfin s’ils ont encore assez de vitamines dans leur alimentation, je lui donne déjà quelques compléments, zinc, vitC, omega3 et D3K2, je ne sais pas si c’est bien….
    Merci encore pour ce pense bête que tout le monde devrait connaître car c’est comme l’argent, on ne nous l’enseigne pas à l’école

  • Merci Jonathan pour votre bonne humeur ! Enfin un régime qui n’en est pas un et qui sent la bonne bouffe, …pardon, la bonne table. Je m’y mets et vous tiens au courant, et si ca marche, je partage sur tous mes réseaux. La bonne bise.

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